Le marchand de verre était assis à la porte de la ville. Il regardait le soleil à travers l’une de ses dernières créations… un prisme magique où il suffisait de plonger le regard pour que ressurgisse le passé dans toute sa vérité. Un jeune homme s’approcha de lui:
- Bonjour vieil homme. Je suis étranger, je voudrais m’installer dans cette ville. Dis-moi, comment sont les gens d’ici ?
Le marchand de verre lui répondit par une autre question:
– Regarde dans ce prisme étranger.Que vois-tu ?
– Je… je vois des gens. De méchantes gens, des hommes et des femmes plein de hargnes, égoïstes et méchants. Si je suis parti, c’est à cause d’eux.
Alors le vieillard repris le prisme et dit:
– Passe ton chemin étranger. Ici, les gens sont tout aussi méchants et égoïstes les uns que les autres !
Le soleil était sur le point de se coucher. Et le vieux marchand regardait les rayons se déformer dans son prisme magique quand un jeune homme s’approcha de lui.
– Bonjour. Je débarque en ces lieux. Pouvez vous me dire comment sont les gens de cette ville ?
Pour toute réponse, le vieil homme tendit le prisme à l’étranger.
– Que vois-tu jeune voyageur ?
– Je vois d’honnêtes gens, bons et accueillants. Là où je vivais, je n’avais que des amis. Oh ! c’est vrai, j’ai eu bien de la peine à les quitter!
– Alors, mon ami, entre et installe-toi sans crainte dans cette ville. Ses habitants sauront te faire oublier la douleur du premier exil. Tu seras reçu comme un roi et jamais tu ne songeras à repartir. Ce prisme magique m’a montré qui tu étais… et moi, je viens de te dire la vérité.
Chacun porte en son cœur son propre univers et le retrouve en tous lieux. Si vous vous ouvrez aux autres, votre regard sur le monde sera changé. Une attitude positive entraîne une vision positive du monde qui vous entoure. Le malheur existe bien sûr, mais il n’est pas plus répandu que le bonheur. Il n’y a pas de fatalité, pas de condamnation à vie: nous vivons ce que nous méritons de vivre. Parfois c’est dur… Mais c’est rassurant, car c’est juste.
"Le bonheur n’est pas une récompense mais une conséquence. La souffrance n’est pas une punition mais un résultat". Robert Ingersoll
- Bonjour vieil homme. Je suis étranger, je voudrais m’installer dans cette ville. Dis-moi, comment sont les gens d’ici ?
Le marchand de verre lui répondit par une autre question:
– Regarde dans ce prisme étranger.Que vois-tu ?
– Je… je vois des gens. De méchantes gens, des hommes et des femmes plein de hargnes, égoïstes et méchants. Si je suis parti, c’est à cause d’eux.
Alors le vieillard repris le prisme et dit:
– Passe ton chemin étranger. Ici, les gens sont tout aussi méchants et égoïstes les uns que les autres !
Le soleil était sur le point de se coucher. Et le vieux marchand regardait les rayons se déformer dans son prisme magique quand un jeune homme s’approcha de lui.
– Bonjour. Je débarque en ces lieux. Pouvez vous me dire comment sont les gens de cette ville ?
Pour toute réponse, le vieil homme tendit le prisme à l’étranger.
– Que vois-tu jeune voyageur ?
– Je vois d’honnêtes gens, bons et accueillants. Là où je vivais, je n’avais que des amis. Oh ! c’est vrai, j’ai eu bien de la peine à les quitter!
– Alors, mon ami, entre et installe-toi sans crainte dans cette ville. Ses habitants sauront te faire oublier la douleur du premier exil. Tu seras reçu comme un roi et jamais tu ne songeras à repartir. Ce prisme magique m’a montré qui tu étais… et moi, je viens de te dire la vérité.
Chacun porte en son cœur son propre univers et le retrouve en tous lieux. Si vous vous ouvrez aux autres, votre regard sur le monde sera changé. Une attitude positive entraîne une vision positive du monde qui vous entoure. Le malheur existe bien sûr, mais il n’est pas plus répandu que le bonheur. Il n’y a pas de fatalité, pas de condamnation à vie: nous vivons ce que nous méritons de vivre. Parfois c’est dur… Mais c’est rassurant, car c’est juste.
"Le bonheur n’est pas une récompense mais une conséquence. La souffrance n’est pas une punition mais un résultat". Robert Ingersoll
Wojtek Siudmak - Couverture pour "L'Appel de Cthulhu" August Derleth - H.P. Lovecraft, Ed Pocket |
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